Cette journée restera gravée dans ma mémoire ! En effet, la traversée de l'Autriche par le Grossklockner aura été l'enfer sur terre !
Mais commençons par cette journée à Cortina qui avait débuté par un excellent déjeuner. Suivit par une petite balade matinale et digestive, suivit des bagages, l'habillement du motard comme il se doit et en voiture Simone, enfin en moto !
Au loin quelques cumulus sur les reliefs, mais rien de grave. Je franchis la frontière autrichienne, toujours ces cumulus, pas de soucis en perspective mais quand même un vent soutenu, voir assez fort. Au loin dans la vallée c'est déjà bouché. J'arrive au péage du col, 26€ à payer. Pour ce prix, j'attends rien de moins que du soleil, si seulement !
Au début de la montée, une petite pluie, pas de soucis, mais toujours ce satané vent. Et puis, plus je monte, plus ça souffle et plus il pleut.
Je bifurque sur le Grossklockner, qui est une route sans issue, mais histoire de voir la bête. Le vent est correct, la pluie aussi. J'arrive au sommet on voit rien, il fait froid, cinq degré et il neige un peu. Je ne m'attarde pas et je redescend et retourne à la bifurcation.
Je continue en direction du col, pas le choix, il faut la traverser cette fichue vallée. Je continue la montée, et de rafales de pluie je passe à des rafales de neige, la température descent, zéro degré. Je ne voix plus rien, je dois essuyer ma visière tout les dix mètre, je suis en plein brouillard, les éléments sont déchaînés et je continue ma montée.
Une petite parenthèse, avant le départ j'ai monté les poignées chauffantes que je m'étais achetées en prévision de quelques futurs balades automnales! Et bien m'en a pris sinon je ne sentirais plus mes mains. Je monte toujours, je ne sais plus dans quel sens je suis, en bas en haut, je pige plus rien ! Je suis simplement la voiture devant moi ! Enfin un tunnel, trente seconde d'accalmie, mais à la sotie, à nouveau la tempête. Un deuxième tunnel, un bon signe, le col doit être franchi, la route descent enfin et heureusement !
Rester toujours concentrer, ça souffle toujours, ça neige toujours, je croise même un chasse neige qui monte. Mais heureusement, vu la saison (fin juin quand même), à chaque virage, je gagne quelques degrés et la pluie revient. Je suis finalement en bas, je passe la zone de payage et le Grossklockner est derrière moi. Je n'ai rien vu de ce col, mais je l'ai expérimenté !
Je quitte l'Autriche, direction Deutschland, et je trouve une petite route au soleil bien sympa dans une vallée perdue, avant de gagner mon logis pour la nuit. Une douche, un bon repas et au lit.
Pour information, le poisson que j'ai eu au diner était sublime, fallait bien ça !
Mais commençons par cette journée à Cortina qui avait débuté par un excellent déjeuner. Suivit par une petite balade matinale et digestive, suivit des bagages, l'habillement du motard comme il se doit et en voiture Simone, enfin en moto !
Au loin quelques cumulus sur les reliefs, mais rien de grave. Je franchis la frontière autrichienne, toujours ces cumulus, pas de soucis en perspective mais quand même un vent soutenu, voir assez fort. Au loin dans la vallée c'est déjà bouché. J'arrive au péage du col, 26€ à payer. Pour ce prix, j'attends rien de moins que du soleil, si seulement !
Au début de la montée, une petite pluie, pas de soucis, mais toujours ce satané vent. Et puis, plus je monte, plus ça souffle et plus il pleut.
Je bifurque sur le Grossklockner, qui est une route sans issue, mais histoire de voir la bête. Le vent est correct, la pluie aussi. J'arrive au sommet on voit rien, il fait froid, cinq degré et il neige un peu. Je ne m'attarde pas et je redescend et retourne à la bifurcation.
Je continue en direction du col, pas le choix, il faut la traverser cette fichue vallée. Je continue la montée, et de rafales de pluie je passe à des rafales de neige, la température descent, zéro degré. Je ne voix plus rien, je dois essuyer ma visière tout les dix mètre, je suis en plein brouillard, les éléments sont déchaînés et je continue ma montée.
Une petite parenthèse, avant le départ j'ai monté les poignées chauffantes que je m'étais achetées en prévision de quelques futurs balades automnales! Et bien m'en a pris sinon je ne sentirais plus mes mains. Je monte toujours, je ne sais plus dans quel sens je suis, en bas en haut, je pige plus rien ! Je suis simplement la voiture devant moi ! Enfin un tunnel, trente seconde d'accalmie, mais à la sotie, à nouveau la tempête. Un deuxième tunnel, un bon signe, le col doit être franchi, la route descent enfin et heureusement !
Rester toujours concentrer, ça souffle toujours, ça neige toujours, je croise même un chasse neige qui monte. Mais heureusement, vu la saison (fin juin quand même), à chaque virage, je gagne quelques degrés et la pluie revient. Je suis finalement en bas, je passe la zone de payage et le Grossklockner est derrière moi. Je n'ai rien vu de ce col, mais je l'ai expérimenté !
Je quitte l'Autriche, direction Deutschland, et je trouve une petite route au soleil bien sympa dans une vallée perdue, avant de gagner mon logis pour la nuit. Une douche, un bon repas et au lit.
Pour information, le poisson que j'ai eu au diner était sublime, fallait bien ça !
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